24 25 danse couple et solo

Le créneau d’entraînement libre de danses à l’espace Monjaret est accessible les jeudis de 19 à 21h (bachata, salsa)

et les lundis pour les danses de salon: 19h40 débutants et 20h40 intermédiaire

 

 

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Saison 2023-24

2022-23

danse 22 23

Reprise janvier 2022

Nouvelle année commence pour le groupe des débutants par la découverte du Paso doble, suivi de la bachata et du rock.

Les cours du mercredi permettent l’apprentissage du tango américain, puis le West Coast Swing et du rock au deuxième cours.

Voici la musique pour la démo de la rumba Téléthon:

Reprise novembre 2021

En cette deuxième période de la saison (et jusqu’aux vacances de Noël)

Les cours débutants du lundi soir ont commencé avec l’apprentissage du tango et du rock.

Les cours avancés du mercredi soir ont permis approfondissement des connaissances en Paso doble et du rock.

Paso doble

Cours débutants se déroulent à la salle Monjaret :-)

Reprise septembre 2021

En ce début de saison GVI, ce fut un réel plaisir de se retrouver enfin dans cette belle salle des Pêcheurs

pour de la rumba puis du rock

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Merci à Catherine et Michel pour cette petite pensée enneigée

Neige danse

Et à Vaires ça marche également le 10 février 

Neige danse vaires

DANSE EN PHYSIOTHÉRAPIE

La danse est communément vue comme une forme de divertissement. Cependant, la médecine d'aujourd'hui a découvert l'effet thérapeutique de la musique et du mouvement sur la santé mentale humaine. Pour certaines maladies, la chorégraphie est l'une des méthodes d'aide au traitement.

La danse thérapie CHOREOTÉRAPIE provoque des mouvements micro-corporels, au quotidien, détend certains groupes musculaires, resserre d'autres. Ces tremblements musculaires typiques rendent votre élasticité de la colonne vertébrale plus flexible.

Grâce à la danse, nous approfondissons la conscience de notre propre corps, trouvons l'équilibre psychophysique dedans, aidons à nous mobiliser et apprenons à se détendre pendant les situations stressogènes cro En plus de l'impact positif sur la psyché humaine, la danse améliore également le système immunitaire, forme la silhouette : améliore la posture, assouplit les muscles, articulations et relaxe.

Coin de poésie avec Mireille HEROS

L'article paru dans le Courrier Picard du 18/11/2019 par Florence Pécriaux

BIEN-ÊTRE

Et bien dansez maintenant!

Et si la danse était l’activité « bien-être » par excellence ? La science envisage de plus en plus sérieusement cette perspective.

Sur le plan physique et psychologique, danser est une source de nombreux bénéfices. Et si vous osiez danser ? Dans toute civilisation, la danse existe. Qu’elle soit rituelle, de séduction ou pour le plaisir, l’homme est danseur. Dans son livre Le besoin de danser, Frances Schott Billman explique que le mouvement est naturel. Pour le bébé, ça commence in utero, par un bercement vécu lorsque maman marche. Naturellement, ce besoin de bouger se poursuit, dans les bras des parents et puis avec la marche, le mouvement... et la danse.

Danser, c’est activer les muscles, le squelette, la respiration, le cœur, etc. Dans le mouvement, les muscles enchaînent une succession de contractions et relâchements, créant naturellement une détente. La respiration s’harmonise au rythme, tout comme le cœur qui orchestre à son tour la circulation sanguine, etc. Bref, danser commence dès qu’il y a mouvement, en libérant le corps de ses tensions, et l’esprit.

 

La danse booste le cerveau

Suivre un rythme, coordonner les gestes, enregistrer une suite de mouvements complexes : la danse mobilise le corps, et aussi le cerveau. Comme l’indique Lucy Vincent dans son ouvrage Faites danser votre cerveau, c’est le cervelet, petite partie en forme de chignon à l’arrière du cerveau, qui agit. « C’est dans cette partie du cerveau que se passent la compréhension et l’apprentissage des concepts virtuels. Par exemple, quand nous apprenons à compter, tout petit, on compte sur les doigts ou avec des billes. Puis on n’en a plus besoin. C’est parce que le cervelet nous a permis de passer du physique, du concret au virtuel. Danser favorise cela », explique-t-elle.

De même Peter Lovatt, chercheur spécialisé dans la psychologie de la danse, explique comment la danse lui a permis de dépasser sa dyslexie.

Des études scientifiques mettent en lumière les bénéfices de la danse pour les malades d’Alhzeimer et de Parkinson. La bonne nouvelle, c’est que ces bénéfices sont bons pour tous.

 

Danser dope la joie, la créativité et l’estime de soi

Essayez donc de faire la tête en dansant. Ça ne dure jamais très longtemps. Tentez l’expérience : choisissez une musique que vous aimez et dansez ! Sauf à vouloir monter sur scène ou devenir pro, on peut lâcher toute notion de performance et se laisser aller à la joie.

Quand on danse, on lâche le mental, on se laisse emporter par le mouvement. Naissent ainsi des gestes, qui n’auraient jamais été réalisés en dehors de ce contexte. Qui dit créations de mouvements, dit aussi créations de connexions neuronales... La danse est un magnifique boosteur de créativité. Il est aujourd’hui démontré que cette créativité s’exprime ensuite en dehors de la danse. Au fil du temps, danser est aussi une manière de renforcer la confiance et l’estime de soi. Plus on danse, plus on retrouve une aisance dans le corps et dans le mouvement. Peu à peu, on retrouve davantage de plaisir à... être soi !

 

Danser favorise le lien social, améliore l’empathie

Cha cha, valse, rock et même slow : danser à deux, c’est déjà se mettre à l’écoute de son partenaire : accepter de partager le rythme, le style. Danser, c’est aussi poser son regard dans les yeux de l’autre, avec pour seule priorité la danse. Alors se crée une empathie naturelle. De même, danser la macaréna ou apprendre une suite de mouvements implique une synchronisation du groupe, une attention à l’autre, pour être ensemble.

Que l’on soit hip-hop ou danse classique, boogie-woogie, valse ou tango, il n’est pas utile de savoir faire le grand écart ou d’être danseur professionnel pour en profiter. Alors dansons !

Florence Pécriaux